Prenons un cas concret. Vous êtes en recherche d’emploi en Suisse et vous vous intéressez à une société particulière. Dans cette société, vous avez identifié une personne précise (par exemple grâce à LinkedIn universités), et vous voulez suivre cette personne, savoir ce qu’elle publie, connaître son activité sur le réseau social professionnel, mais ne souhaitez pas pour autant rentrer en contact tout de suite avec elle.
Le bouton “Suivre” de Linkedin permet de garder un oeil sur une personne sans être en contact avec elle
Pour faire ceci, LinkedIn propose une fonctionnalité qui n’est pas forcément connue : le bouton « Suivre ».
Il suffit pour cela :
– de vous rendre sur la page de la personne
– de passer la souris sur la petite flèche à droite de « Envoyer un inmail à.. »
– de cliquer sur « Suivre »
Si vous avez envoyé une invitation à cette personne et qu’elle ne vous a pas répondu, vous aurez directement le bouton “Suivre” sur le profil de cette personne.
Et voilà !
A partir de ce moment, vous serez informé(e) de tout ce que la personne publiera publiquement sur LinkedIn : articles rédigés sur Pulse, publication d’articles, commentaires…
Une action pas totalement discrète
Cette action n’est en revanche pas totalement anonyme, puisque :
- lorsque vous irez sur sa page pour activer le bouton “Suivre”, il verra que vous avez visité son profil.
- la personne recevra une notification dès lors que vous l’aurez suivie (c’est d’ailleurs une des stratégies que nous utilisons dans nos Masterclass “Démarrer sa recherche d’emploi en Suisse” pour attirer l’attention de certaines personnes)
- la personne que vous suivez peut accéder à la liste des personnes qui la suivent. S’il y en a beaucoup, vous serez perdue dans la masse, et ne serez donc pas facilement repérable.
Pour vous exercer, je vous propose une chose simple : me suivre !
C’est un peu le même principe que de mettre des gens dans des listes sur Twitter, tout simplement !
Oui, à la différence que la probabilité de trouver en Suisse un interlocuteur sur LinkedIn est beaucoup plus importante que sur Twitter. Mais sinon le principe est similaire effectivement.